Appareil Olympus E-M10, objectif 9-18mm (équivalent FF 18-36mm) à sa focale la plus courte.
Scène de marché à Leh, la capitale (assemblage de 4 images) :
Monastère bouddhiste (Thiksey, 5 images). La "pente" au milieu est une vraie pente, pas un défaut de perspective. Seules les vallées (ici celle de l'Indus à droite) contiennent un peu de verdure, le reste est très minéral.
Autre monastère (Lamayuru, 2 images horizontales) avec des "drapeaux à prières" sur le mur
Ce qu'on appelle une épingle à cheveux (Alchi, 4 images)
Deux vues au-dessus du monastère de Lamayuru (5 images chacune)
La deuxième avec un spot de drapeaux à prières en plein vent
Trois vues de la route arrivant à Lamayuru (respectivement 3, 2 et 3 images), une zone surnommée "Moonland" à cause de son aspect lunaire
Depuis Leh, on accède au col de Khardung (Khardung-La), autoproclamé "plus haut col carrossable du monde" à 5602 m officiels (en réalité 5360m). La dizaine de km à vol d'oiseau se traduit dans les faits par 40 km de route, puis de piste plus ou moins défoncée, qui prennent deux à trois heures non stop, bien plus en cas de croisement de camions à des endroits délicats. Devant nous rendre de l'autre côté, nous n'avons pas fait le classique aller et retour dans la journée, mais un tour de 3 jours.
Vue de la ville et de la vallée de l'Indus au fond (5 et 4 images). Le panneau de la première incite à klaxonner dans les virages - ce que les Indiens font très bien sans panneau
.
De l'autre côté du col, la vallée de la Shyok. Je me suis mouillé les pieds pour celle-ci (3 images)
En descendant la vallée, on approche le Pakistan, avec une présence militaire de plus en plus marquée, Inde et Pakistan étant frères ennemis depuis 70 ans.
Nous avons terminé le voyage par la "mythique" route Leh-Manali*, dont on peut théoriquement parcourir les 500 km défoncés en moins de 24h. En réalité, si on veut s'arrêter pour prendre des photos ou simplement se dégourdir les jambes ou le dos, 2 jours sont un minimum, sans parler des inévitables arrêts pour cause d'éboulements de terrain. Nous avons pris 3 jours. En l'absence d'habitations permanentes sur une grande partie du trajet (la route est fermée 6 moins par an), on doit dormir dans des campements saisonniers, voici le nôtre à 4200 m d'altitude (4 images).
* Un documentaire de la série "les routes de l'extrême" sur France 5 a été consacré à cette route : http://www.dailymotion.com/video/xnv8q0. Comme d'habitude, c'est fortement scénarisé, mais ça peut donner envie.
J'ai quelques autres panoramiques de cette route, pas encore post-traités.
Ca y est, j'ai la bougeotte 
